Claudio Damiani est né à San
Giovanni Rotondo dans le sud de
l’Italie (Pouilles) en 1957,
mais très tôt déménage à Rome,
où il réside encore.
En 1980, il est l’un des fondateurs de la revue Braci, où un nouveau classicisme est proposé. Depuis 1987, Claudio Damiani a publié plusieurs recueils de poésie pour lesquels il a remporté de nombreux prix, dont le prix Eugenio Montale et le prix Mario Luzi. Ses textes ont été traduits en plusieurs langues (principalement en anglais, espagnol, allemand, serbe, slovène, roumain) et apparaissent dans de nombreuses anthologies italiennes.
Parmi de ses recueils de poésie citons : Fraturno (1987), La mia casa (1994), La miniera (1997, Eroi (2000), Attorno al fuoco (2006), Sognando Li Po (2008), Poesie (2010), Il fico sulla fortezza (2012), Cieli celesti (2016), Endimione (2019). Il a également écrit Il rapimento di Proserpina (1987) et Ninfale (2013) pour le théâtre mais aussi l’essai La difficile facilità. Appunti per un laboratorio di poesia (2016).
Poèmes traduits par Viviane
Ciampi (avec texte italien
ci-contre)
Gianfranco Lauretano, Damiani a
fait descendre Séléné de son
char
Et ce chant, mon amour, de cigales (Cieli celesti, Fazi, 2016), traduit par Camilla Maria Cederna